Les histoires BDSM intriguent et deviennent de plus en plus populaires. Notre histoire est pleine d'exemples de discrimination, de haine et de peur à l'égard de personnes et de comportements que nous ne comprenons pas. Comme ceux qui ont des sexualités alternatives et ceux qui les pratiquent. De nombreux adeptes du BDSM vivent dans la crainte de la persécution et de la discrimination. D'énormes progrès ont été réalisés pour notre communauté gay, lesbienne, bisexuelle et transgenre. Mais, malheureusement, la sensibilisation au BDSM et, plus particulièrement, au polyamour, n'a pas eu cette chance.

Les stéréotypes et les mythes urbains sur ces modes de vie qui envahissent l'opinion publique portent préjudice aux personnes qui les pratiquent.

 

Histoires BDSM et polyamour

Les personnes BDSM s'identifient comme "perverses" et 100% participent au style de vie BDSM. Elles se sentent super queer, et certains pratiquent même le polyamour mais ils ne s'identifient pas nécessairement comme des polygames.

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Être polyamoureux signifie avoir des relations ouvertes, avec beaucoup de communication et sans limites imposées aux autres personnes. Un polyamoureux sait que personne d'autre ne pourra satisfaire la grande variété de ses besoins toujours changeants, et il l'accepte.

 

Comment fonctionne le polyamour BDSM ?

Cela ressemble à quelque chose de différent tout le temps. Parfois, cela signifie que vous ne sortez avec personne. Parfois, cela signifie que vous avez un partenaire à long terme ou que vous êtes dans une relation à distance et que vous sortez avec des personnes qui sont également dans votre entourage immédiat. C'est un phénomène très courant dans les histoires BDSM. Beaucoup le font comme si c'était la chose la plus normale de l'univers.

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Vous savez, c'est un peu le même processus que lorsque vous faites quelque chose que la société désapprouve. Il faut donc prendre cela avec un grain de sel et accepter que cela ne vous change pas en tant que personne ou ne change pas qui vous êtes. Après tout, vous êtes toujours la même personne, celle que vous avez toujours été. Vous ne connaissiez simplement pas cet aspect de votre personnalité. Il n'y a rien de négatif à cela. Mais, selon les relations monogames, le fait que quelqu'un puisse approuver la polyamorie devient quelque chose comme un pouvoir négatif et vous oblige à revenir à des relations "normales". Quelque chose que vous ne recherchez pas nécessairement. Alors, sentez-vous libre d'être vous-même, mais en respectant toujours les autres !

Les gens choisissent d'être monogames parce qu'ils pensent que c'est ce qui leur convient actuellement. Et pour certains, cela peut signifier que pour beaucoup d'autres personnes, cela est restrictif et change leur véritable identité.

 

Histoires et personnalité BDSM

Disons que je connais maintenant beaucoup d'aspects de ma personnalité dont je n'avais pas conscience auparavant. J'ai l'impression que Le BDSM m'a en quelque sorte permis de réaliser certaines parties de moi-même. que j'avais oublié ou retenu dans mon subconscient. Ces choses sont des déclencheurs pour moi et j'ai été capable de réaliser les choses qui sont arrivées et pourquoi elles sont arrivées. J'ai appris à y faire face, à faire confiance aux gens et à savoir quand les gens sont vraiment là pour vous.

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J'aime la communication qui a lieu dans les histoires BDSM et j'aime l'ouverture des relations polyamoureuses car, pour avoir une relation saine, il faut vraiment comprendre ce que l'autre traverse et quelles sont ses émotions. Et j'aime vraiment pouvoir disposer d'un espace sûr où parler de cela. Normalement, dans les relations polyamoureuses, il y a beaucoup de communication et beaucoup d'acceptation des sentiments et des actions. Je pense que beaucoup de gens jugent la polyamorie et il me serait encore très difficile de m'ouvrir à eux et de leur faire savoir que je suis polyamoureuse.

 

Conclusion

Je serais nerveuse d'être polyamoureuse car c'est un mode de vie difficile. Ou, mieux, il est difficile d'être accepté par la société. C'est comme si tout le monde dans le public "général" avait peur d'être rejeté, peur que les gens soient bizarres et anormaux. Et donc il n'est pas possible de parler librement de cela entre nous. De plus, les gens craignent de se voir diagnostiquer une sorte de trouble mental en considérant le polyamour et le BDSM comme une simple facette de leur personnalité et non comme un symptôme de pathologie à corriger et à guérir. De nombreux thérapeutes peuvent améliorer la confiance et la communication, deux éléments qui augmentent considérablement la probabilité d'un résultat thérapeutique positif. Si vous, ou l'une de vos connaissances, avez besoin d'un soutien en matière d'identité sexuelle alternative, faites des recherches sur le web car vous pouvez trouver de nombreuses ressources utiles qui clarifient, ou du moins tentent d'expliquer, ce dont il s'agit. Je partagerai quelques liens lorsque j'en trouverai d'intéressants.