Entre mes bottes noires à talons hauts

Il y aura un moment où mon soumis ne sera plus autorisé à lécher la chatte de sa maîtresse. Mais nous n'en sommes pas encore là, donc J'apprécie souvent le culte de la chatte bien faitmême avant de me déshabiller en rentrant à la maison.

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Pour un soumis, lécher l'endroit le plus sacré de sa maîtresse est un rêve. Un désir constant éradiqué dans son petit cerveau.

Le désir de lécher la chatte de sa maîtresse est présent indépendamment de ce que fait le sujet.

Mais la frontière est mince entre l'autoriser à lécher mon vagin pour son plaisir et le laisser faire parce que je le veux et pour MON plaisir.
Mon plaisir est plus important que le sien, c'est donc moi qui décide si cela se produira ou non.

Bien sûr, il l'aime de toute façon, même s'il s'agit d'un sous-produit.

Comme il s'agit de MON plaisir, je veux qu'il soit fait comme je l'aime.
Je dois constamment le guider vers le point que j'aime, de la manière que j'aime, à la vitesse que j'aime et pendant la durée que j'aime qu'il fasse.

Il doit sentir que c'est moi qui contrôle la situation et qu'il n'a qu'à obéir à mes ordres et à mes désirs. Ceci sans se concentrer sur le plaisir que l'acte lui procure.

Après tout, se faire dire et obéir est la tâche principale d'un sub dans une relation dirigée par une femme.